Prison Break saison 2 : final
Ce soir Prison Break reprend du service sur M6 avec la deuxième saison.
Après l'avoir fini, et pris un petit mois pour la diriger, voici mes impressions.
D'abord, cette deuxième saison est moins bonne que la première (l'effet de surprise n'est forcément plus là), mais reste tout de même de bonne qualité. C'est toujours la même chose. Les situations sont toujours aussi grosses et irréalistes, les rebondissememnts arrivent à des kilomètres, mais que voulez-vous, ça marche quand même.
En résumé, les 8 prisonniers se sont fais la malle avec tous les flics du pays à leur trousse. Leur but : s'échapper bien sûr, mais aussi aller récupérer les cinq millions de dollars enterrés quelques part dans l'Utah. Il faut pour certains, en plus, ramener son fils, sa femme, sa fiancé sur le point de se marier avec un autre, sa main droite ou se venger de son pire ennemi. Les 8 protagonistes se séparent vite pour mieux se retrouver autour du fric. Même si quelques uns (beaucoup) vont mourir d'une balle dans la tête au passage.
Au niveau des "grands méchants pas beau", on trouve en haut de la pyramide Kim Bill, représentant de tous les stéréotypes du japonais sadique. Rien pour le rattraper. Il y a aussi Mahone, qui se révèlera bien moins manichéen à la fin de la saison. Idem pour l'agent Spellerman, qui aura droit à son moment de gloire qui me tira presque les larmes des yeux. La Présidente n'échappe pas curieusement à la règle. Même T-Bag a ses quelques moments de compassion. Par contre, rien n'arrive à repecher Bellick, mais il nous fait presque rire par ses bourdes.
Pour ceux qui n'avaient pas tout compris dans la première saison de ce qu'est ce grand complot international, je vous rassure tout de suite : c'est encore plus compliqué dans les épisodes qui arrievnt. A se demander si les scénaristes savent vraiment où ils veulent aller.
Wenworth et Dominique sont par contre toujours excellent, ça, ça ne change pas. Leurs personnages sont maintenant bien plus à égalité, et réservent quelques surprises.
Niveau sexe, rien de plus que dans la saison 1, autant le dire tout de suite. Un baiser langoureux et c'est tout ! Le personnage de Sarah n'a pas droit à beaucoup d'évolution.
J'ai par contre été fappé par la violence de certaines scènes, ou une ambiance parfois assez glauque. Je n'avais la censure d'M6 aussi...
Et enfin la fin... Ahhh, la fin....
Comment dire... On a l'impression énotme que tout était bouclé, jusqu'à ce qu'un producteur arrive avec un paquet de fric : "Allez les gars, ça marche trop bien votre truc, vous nous faîtes une troisième saison ?". Et hop ! Une relance totalement improbable pour quelques épisodes de plus. On ne sait pas où on est, qui fait quoi, qui est où.
Mais Michael, lui, a son regard perçant qui signifie qu'il a tout compris et encore une fois tout prévu... Trop fort ce Michael !
Après l'avoir fini, et pris un petit mois pour la diriger, voici mes impressions.
D'abord, cette deuxième saison est moins bonne que la première (l'effet de surprise n'est forcément plus là), mais reste tout de même de bonne qualité. C'est toujours la même chose. Les situations sont toujours aussi grosses et irréalistes, les rebondissememnts arrivent à des kilomètres, mais que voulez-vous, ça marche quand même.
En résumé, les 8 prisonniers se sont fais la malle avec tous les flics du pays à leur trousse. Leur but : s'échapper bien sûr, mais aussi aller récupérer les cinq millions de dollars enterrés quelques part dans l'Utah. Il faut pour certains, en plus, ramener son fils, sa femme, sa fiancé sur le point de se marier avec un autre, sa main droite ou se venger de son pire ennemi. Les 8 protagonistes se séparent vite pour mieux se retrouver autour du fric. Même si quelques uns (beaucoup) vont mourir d'une balle dans la tête au passage.
Au niveau des "grands méchants pas beau", on trouve en haut de la pyramide Kim Bill, représentant de tous les stéréotypes du japonais sadique. Rien pour le rattraper. Il y a aussi Mahone, qui se révèlera bien moins manichéen à la fin de la saison. Idem pour l'agent Spellerman, qui aura droit à son moment de gloire qui me tira presque les larmes des yeux. La Présidente n'échappe pas curieusement à la règle. Même T-Bag a ses quelques moments de compassion. Par contre, rien n'arrive à repecher Bellick, mais il nous fait presque rire par ses bourdes.
Pour ceux qui n'avaient pas tout compris dans la première saison de ce qu'est ce grand complot international, je vous rassure tout de suite : c'est encore plus compliqué dans les épisodes qui arrievnt. A se demander si les scénaristes savent vraiment où ils veulent aller.
Wenworth et Dominique sont par contre toujours excellent, ça, ça ne change pas. Leurs personnages sont maintenant bien plus à égalité, et réservent quelques surprises.
Niveau sexe, rien de plus que dans la saison 1, autant le dire tout de suite. Un baiser langoureux et c'est tout ! Le personnage de Sarah n'a pas droit à beaucoup d'évolution.
J'ai par contre été fappé par la violence de certaines scènes, ou une ambiance parfois assez glauque. Je n'avais la censure d'M6 aussi...
Et enfin la fin... Ahhh, la fin....
Comment dire... On a l'impression énotme que tout était bouclé, jusqu'à ce qu'un producteur arrive avec un paquet de fric : "Allez les gars, ça marche trop bien votre truc, vous nous faîtes une troisième saison ?". Et hop ! Une relance totalement improbable pour quelques épisodes de plus. On ne sait pas où on est, qui fait quoi, qui est où.
Mais Michael, lui, a son regard perçant qui signifie qu'il a tout compris et encore une fois tout prévu... Trop fort ce Michael !